La menace du bioterrorisme et du bio-hacking est de plus en plus réelle. Le système de défense est solide mais ne peut suffire à encadrer des pratiques solitaires facilitées par l'amélioration des techniques. Le docteur Bernard Massoubre, biologiste médical à l'Hôpital d'Instruction des Armées Desgenettes tire le signal d'alarme LIRE LA SUITE